La gestion émotionnelle de crise en 3 étapes !

par Gaëlle PRO
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Bienvenue dans le dossier spécial “Hypersensibilité”
Cet article s’inscrit dans une suite logique en 4 parties
autour de l’hypersensibilité émotionnelle.

(Pour lire les articles suivants, cliquez directement sur les titres.)

1. Mon hypersensibilité, mes émotions, mes emmerdes …
2. L’Hypersensibilité en 5 grandes caractéristiques
3. Hypersensibles, comment gérer ?

4. Hypersensibilité, et si c’était un cadeau ?


Bonus : La gestion émotionnelle de crise en 3 étapes !

Que l’on parle de gestion émotionnelle de crise ou de gestion de crise émotionnelle, les questions de fond sont similaires !
Comment anticiper l’arrivée d’un tsunami émotionnel ? Comment apaiser le feu à l’intérieur ? Avons-nous de quoi nous aider nous-même dans ces moments délicats ? Où trouver la force et la motivation ?

Aujourd’hui, je choisis de parler de nos moments plus sombres parce que la blogosphère et la planète Facebook/Instagram nous noie sous les injonctions !

Tu dois être comme ci ou comme ça !
Il faut être heu-reux ! Et pour ça il faut avoir une vie par-fai-teuh ! Ne jamais se prendre la tête avec un collègue, un conjoint ou un membre de sa famille ! Ne jamais criser sur ses enfants sous prétexte d’éducation bienveillante et positive ! Avoir une belle maison, moderne, épurée, toujours propre et impeccable ! Ne jamais déraper sur son alimentation quotidienne ! Afficher une vie sociale épanouie …


Et la vraie vie dans tout ça ? Et les vrais problèmes ? A quel moment nous mettons-nous au centre de nos priorités avec toutes ces injonctions ?
Pas étonnant que le nombre de burn-out explose et que la charge mentale devienne un sujet de société !
Ce que je trouve foncièrement dangereux dans cette ambiance générale c’est que cela glisse un voile de déni sur le collectif. Cela nous pousse à croire qu’avoir des problèmes n’est pas normal. Et que nous sommes “nuls”.

Lorsque j’affirme très sûre de moi que “je ne négocie plus ma sérénité”, je ne dis pas que je n’ai pas de problème. Je ne dis pas que tout est facile. Tous les jours.
Je dis simplement que je les gère différemment qu’avant, avec pour objectif prioritaire de sauvegarder ma sérénité quotidienne.
Et c’est justement pour vous aider à trouver votre voie de la sérénité que je partage avec vous mes astuces.

La gestion émotionnelle de crise, késako ?

Lorsque j’ai décidé de mettre ma sérénité comme objectif de tous mes choix et de toutes mes décisions, j’ai aussi gardé à l’esprit que rien n’est jamais acquis.
Les difficultés, les obstacles, les drames font partie de nos vies et le nier peut vite devenir source de plus grandes souffrances encore.

Lorsque l’on veut apprendre à nos enfants à être prudents face au danger et à devenir autonomes, quelle est notre réaction ?

Prenons un exemple :
Vous êtes en balade avec vos enfants et passez près d’un champs protégé par une barrière électrifiée. Allez-vous sensibiliser vos enfants au danger de cette barrière ? ou allez-vous leur cacher la barrière pour ne pas qu’ils la voient ?

Dans la première hypothèse vous offrez à vos enfants l’autonomie et la liberté de savoir qu’ils disposent d’un périmètre de sécurité pour jouer et qu’au-delà ils risquent un danger.
Il devient de leur responsabilité d’être prudents en ayant toutes les cartes en mains pour choisir.

Dans la seconde hypothèse vous mettez un voile sur le danger pour les préserver.
Est-ce qu’un danger, devenu invisible, disparaît ?
Dans l’ignorance des limites, vos enfants risquent de tomber sur le voile et de mettre les mains sur la cloture sans la voir venir.

Certes, la douleur est la même que s’ils y étaient allés consciemment. Mais l’effet de surprise y ajoute un choc émotionnel qui décuple la difficulté passagère.
Ce n’est pas ce que vous leur souhaitez n’est-ce-pas ?

C’est pareil pour nous. Dans tout.
Et ce n’est probablement pas ce que vous vous souhaitez non plus !

La gestion émotionnelle de crise, c’est être bien préparé, sur tous les plans, à affronter la réalité de la vie. C’est connaître ses limites pour appréhender les risques.
Et savoir quels leviers actionner pour traverser la tempête sans couler.

Crédit photo : Ben White

Comment muscler sa gestion émotionnelle ?

Dans ma famille nous avons une prédisposition naturelle à l’hypersensibilité. A croire qu’il y a un terrain génétique 🙂
Le sujet de la gestion émotionnelle des crises est donc un vrai sujet chez nous. Et personnellement, pour moi, c’est devenu un besoin vital.
Pour mon équilibre, pour l’équilibre de mon foyer aussi. Pour le confort de tous.

J’en profite pour vous mettre le lien vers le dossier complet sur l’hypersensibilité que j’ai publié il y a quelques temps ! Vous y trouverez probablement plein d’autres astuces pour vous aider ! (il suffit de cliquer)

J’ai alors tenté de prendre le sujet sous différents angles, j’ai accusé quelques ratés mémorables mais j’ai surtout mis en lumière un processus qui me réussit plutôt bien.

Je n’ai pas moins de challenges qu’avant, je n’ai pas moins de difficultés qu’avant non plus ! Je les aborde juste complètement différemment.

Cette méthode n’est probablement pas universelle 🙂 mais si elle a pu m’aider à mieux vivre mon hypersensibilité et mes périodes de crise… Elle pourra certainement aider d’autres personnes !

Alors voici mes réflexes en gestion émotionnelle de crise :

Etape 1 : Baliser un terrain de jeu sécuritaire

Cela peut paraître un peu abstrait au premier abord mais vous pouvez le faire au quotidien, étape par étape.
Vous allez redéfinir vos limites à chaque nouvelle situation qui se présente.
Votre terrain de jeu est flexible, il évolue en permanence et c’est vraiment important d’en connaitre les contours et les limites pour savoir où et comment vous pouvez évoluer sereinement.

Rappelez-vous vos enfants ! S’ils savent que toutes les barrières du parc sont électrifiées, ils n’iront pas.
En revanche, le savoir ne les empêchera pas de jouer dans le parc.
Mieux ! Savoir où ils ont le droit de jouer en toute sécurité leur permet de ne plus être dans la méfiance permanente ! Et donc de jouer l’esprit libre et apaisé. Totalement présents à ce qu’ils font.

C’est là que j’aimerais vous emmener ! Délimiter un terrain dans lequel vous allez évoluer sereinement.

Définissez vos limites

Cela passe par définir vos limites dans ce que vous êtes prêts à accepter ou non.
En lien direct avec vos besoins et vos valeurs.

Ces notions sont très personnelles et dépendent vraiment de chacun. Je vous donne quelques pistes de réflexion mais sentez-vous libre d’aller sur les terrains qui vous semblent nécessaires et/ou adaptés à vos besoins.
Et évidemment cela demande de bien se connaître. Ou d’être prêt à apprendre à se connaître.
On en apprend sur soi chaque jour !
C’est exactement pour cette raison que vos balises peuvent évoluer régulièrement.

Qu’est ce qui est important pour vous ?
De quoi avez vous besoin pour protéger et préserver votre énergie ?
Quelles sont les valeurs qui définissent votre chemin de vie ?


Pour vous aider dans cet exercice et pour que cela soit plus clair pour vous, je vous ai préparé un exercice pratique très efficace !

Vous pouvez le télécharger juste ici : Les soleils de votre vie.
Ou cliquer sur le bouton juste en dessous !

Et enfin, cela passe également par définir vos limites émotionnelles !
Les émotions de base (colère, peur, joie, dégoût, tristesse et surprise) ont toutes une palette infinie de sentiments nuancés.
Etre précis dans la définition de son émotion en nommant son ou ses sentiments permet d’éviter un certain nombre de malentendus et de réactions en chaîne.

Cette précision vous permet également de fixer vos limites.
Par exemple : Jusqu’où acceptez-vous de vivre la colère ? De la contrariété à la rage, il existe un monde infini de nuances. Quelle est votre limite ?

Il existe des colères constructives qui permettent de passer à l’action et de changer ce qui doit l’être, et des colères destructrices qui ravagent tout sur leur passage.

Chacun ses propres limites. A vous de définir la vôtre, le plus précisément possible.

Qu’acceptez-vous de vivre ?

Communiquez vos limites

Maintenant que vous avez défini vos limites personnelles et que vous savez exactement où sont les risques pour votre équilibre émotionnel, vous pouvez les communiquer à vos proches.

La manière la plus simple, la plus efficace et surtout la plus bienveillante de communiquer vos limites est de commencer vos phrases par :

“J’ai besoin de …”
“C’est important pour moi de …”


Dans cette forme de communication vous ne parlez que de vous, à aucun moment vous n’accusez l’autre d’être responsable de votre déséquilibre émotionnel.
Et si le but final est de gagner en sérénité, pour vous, il l’est également pour tout le monde.

Gagnant/Gagnant

Vous pouvez le faire progressivement, au quotidien, à chaque fois qu’une situation se présente.
Une fois que vous avez déterminé avec qui ou quoi il est nécessaire de refixer un cadre, faites-le.

Cette étape vous permettra de réduire considérablement les expositions au stress émotionnel.
C’est ça en moins à gérer pour la suite.

Et si vos interlocuteurs retentent une incursion dans vos limites, vous n’aurez plus qu’à rappeler les règles fixées et leur rendre leur responsabilité !

Etape 2 : Accompagner et gérer une crise émotionnelle

Vous avez délimité votre zone de sécurité émotionnelle et vous l’avez communiquée aux personnes concernées !
Mathématiquement vous avez déjà considérablement réduit vos risques d’exposition à une crise émotionnelle.

Toutefois, nous l’avons vu en début d’article 🙂 la vie n’est pas un long fleuve tranquille et les difficultés font partie du chemin.

Alors, si une crise pointe de bout de son nez, comment l’accueillir le plus sereinement possible ?

Il n’y a que chez moi qu’une crise émotionnelle s’accompagne d’une crise alimentaire ? 😉

Lorsque je suis psychologiquement fatiguée, lorsque mon énergie est réquisitionnée pour gérer la crise passagère, non seulement je n’ai aucune envie de cuisiner mais en plus parfois je n’ai aucune envie de manger.
Et c’est généralement là qu’intervient en fanfare la compensation par la “bouffe doudou” !
Je mange n’importe quoi, n’importe comment !

Vous l’aurez compris : rien de bien sain !

Et vous savez quoi ? ce n’est pas très grave ! Je sais que je ne peux pas concentrer mon énergie partout au même moment alors je fais des choix.
Je ne vais pas en plus m’accabler de culpabilité.

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Crédit photo : Hal Gatewood

Soutenir son corps de l’intérieur

En revanche, j’ai bien conscience que si mon corps fatigue aussi, je rajoute une difficulté supplémentaire dans la gestion émotionnelle de la crise !
Il n’y a pas que notre esprit qui influe sur notre état émotionnel. Notre corps, notre biochimie ont aussi une part de responsabilité dans l’équilibre de notre état émotionnel.

Alors je suis en paix avec moi-même lorsque je tape le paquet de chips mais je compense un minimum pour soutenir mon organisme dans sa crise !
Parce que, bien entendu, ce changement brutal d’alimentation devient une crise à gérer pour notre organisme.

Mes réflexes ?

– Une cure de chlorure de magnésium.
Non seulement l’effet est radical sur le coup de boost, mais en plus il agit sur l’humeur générale et l’équilibre émotionnel. J’achète du sel de Nigari (plus économique et plus facilement assimilable par l’organisme) et je mélange 20gr dans un litre d’eau.
1 verre tous les matins pendant 1 semaine ! C’est immonde mais très efficace !


– Avec de la spiruline pour l’énergie générale.

– Je bois un verre de Kéfir par jour pour soutenir mon microbiote intestinal.

– Je fais mes courses de manière stratégique.
Que du rapide, facile et appétant. Je berne mon cerveau en achetant plein de fruits très tentants, quitte à faire des repas que de fruits ! J’achète des jus de légumes, j’ai des références que j’affectionne particulièrement et je peux ne boire et manger que ça pendant 48h, mais au moins ce n’est pas “si pire” ! Et des yaourts, c’est facile à manger et ça passe bien.

Soutenir son corps de l’extérieur

Lorsque je donne à mon corps le carburant nécessaire pour gérer la partie interne, il m’allège d’un poids énorme. Je me sens moins accablée, moins réactive et chaque jour je régénère ma jauge d’énergie !

En fait, ce qui est primordial de garder à l’esprit dans ces moments là, c’est que vous allez avoir besoin de beaucoup d’énergie pour gérer la crise. Cette énergie il faut bien la trouver quelque part, sinon vous puisez dans les réserves et quand il n’y a plus de réserve on en arrive au burn-out.

Kaput ! Game Over !

Et pour remplir ma jauge d’énergie, donner des forces à mon organisme de l’intérieur ne suffit pas !

Mes réflexes ?

– Je dors plus que de raison
C’est exactement dans ces moments là que le mot “ralentir” prend tout son sens ! Je ne peux pas tenir l’exigence énergétique que requiert une crise émotionnelle si je ne suis pas reposée. Je ne traîne plus sur mon téléphone le soir, je ne traîne plus le soir tout court. Au lit à 20h30 comme les enfants et ma vie sociale attendra que la crise soit passée !

– Je vais courir en forêt et je fais du Yoga
Courir me vide la tête et décharge mon corps du trop plein de stress et de tensions accumulées. La forêt me fait un bien fou, c’est un élément essentiel à ma vie. Le yoga m’apaise et équilibre mon corps physiquement.

– Je prends un bain
Pardon seigneur de l’écologie … Mais prendre un bain est pour moi une vraie médecine. C’est ma bulle. Parfois j’y met du gros sel pour décharger les énergies négatives et les tensions musculaires, dans la pénombre, juste une bougie ou deux, le silence. La paix.

Soutenir sa tête

Une fois que vous avez trouvé les clés pour donner à votre corps le soutien nécessaire pour vous tenir debout, vous allez pouvoir économiser un peu d’énergie pour gérer ce qu’il se passe dans votre tête.

Et je ne le répéterai probablement jamais assez : offrez-vous le droit d’avoir des moments d’énergie basse. Sans culpabiliser.

Non seulement c’est humain et normal, mais en plus c’est sain ! Cela vous permet d’évoluer, d’apprendre à vous connaitre toujours plus et de remettre en question ce qui doit l’être.

Votre ménage n’est pas carré ? C’est Ok ! Les triangles c’est chouette aussi 🙂
Tout le monde survivra !

Vous cuisinez moins équilibré ? C’est Ok aussi ! Vous allez devenir un dieu pour vos enfants 🙂
Profitez ! Ils survivront et vous aussi !

Vous êtes fatiguée, dormez. Tant pis pour le reste.

Vous avez le droit. Et vous avez le droit d’écrire cette phrase sur le miroir de la salle de bain pour vous le rappeler tous les matins et tous les soirs !

“J’ai le droit”

Et si votre entourage vous accable, prenez vos distances temporairement avec eux.
Vous n’avez pas besoin de porter le poids des croyances des autres. Ça leur appartient.
Dans la mesure où la crise est passagère et qu’elle ne s’attarde pas trop longtemps, il n’y a absolument rien d’inquiétant. Soufflez.

Si vous sentez que la crise s’installe, autorisez-vous à consulter pour obtenir une aide ciblée et personnalisée.

Mon réflexe ?

– Ecrire !
J’écris pour vider ma tête, dès que je sens mon cerveau se mettre en marche je prends mon cahier et j’écris tout ce qui me vient, exactement comme ça me vient.
Vous verrez à quel point c’est aidant !
Aidant dans la décharge, ça aide à sortir les poubelles émotionnelles 🙂
Aidant dans la compréhension ! En se relisant au calme les choses paraissent beaucoup plus limpides !

Etape 3 : Comprendre et ajuster

C’est l’ultime étape à enclencher quand vous sentez la crise en phase descendante.

Que s’est-il passé ? Pourquoi ? Si vous aviez une responsabilité dans la situation, quelle serait-elle ? Et s’il y avait une leçon à en tirer, quelle serait-elle ?

Au delà de ma spiritualité et de ce en quoi je crois … Croire que la vie est toujours POUR moi et toujours pour mon bien me permet, physiquement et psychologiquement, de sortir de ma coquille de Calimero.
Soyons honnêtes, c’est tellement facile et confortable de s’y réfugier.

Mais est ce que ça fait vraiment avancer les choses ?

Croire, c’est chercher plus loin que l’événement en lui même. Croire, c’est chercher des solutions au lieu de s’apitoyer sur son sort. Et aussi bête que cela puisse paraître … Chercher c’est trouver.
Chaque événement, agréable ou douloureux, apporte quelque chose à notre vie. Evidemment, en plein cœur de la crise ce n’est pas la question prioritaire à se poser.

Mais après ?

Qu’est ce que cet événement a révélé ? Quelles sont les personnes ou situations qui sont sorties de votre vie ? N’est-ce pas mieux finalement ?
Quelles sont celles qui y sont entrées ? Qu’avez-vous découvert sur vous ? Qu’est-ce que cet événement vous a permis de faire ou d’obtenir par effet collatéral ?


Plus vous musclerez votre cerveau à cette gymnastique mentale, plus vous serez calmes pour traverser les crises à venir … Parce que vous aurez compris que chaque crise est là pour faire un brin de ménage nécessaire et que moins vous résistez, plus vite ça passe.

Chaque nouvelle crise émotionnelle permet d’ajuster les balises de vos limites.
D’ajuster votre réponse aux événements. De prendre un peu plus soin de vous.
Et de revenir plus rapidement à chaque fois à votre sérénité si précieuse !

Pour conclure

Tout repose sur votre jauge d’énergie, comment la remplir efficacement ? Et quels choix stratégiques ferez-vous dans l’utilisation de cette énergie disponible.

J’espère avoir pu vous éclairer un peu dans la nuit de vos vagues émotionnelles ! Si vous aussi vous avez testé des méthodes simples et efficaces pour adapter votre gestion émotionnelle … venez les partager avec nous en commentaires !

Toujours un plaisir de vous lire !

Dossier spécial “Hypersensibilité”
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2 Commentaires

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2 Commentaires

Chloée 27 février 2020 - 15 h 48 min

Génial cet article. Merci Gaëlle!!! À lire et à relire pour bien l’intégrer, et pour ma part j’y reviendrai de temps en temps je suis sûre que ça me sera très utile 😉

Répondre
Gaëlle PRO 29 février 2020 - 16 h 21 min

Merci Chloée pour ton retour ! Je suis ravie qu’il puisse t’aider 😉
A bientôt
Bises
Gaëlle

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